dimanche 23 novembre 2014

Pérou 2014 - 28 septembre - Cusco, Cuzco, Cusco citron

Alors pour commencer, oui Cusco avec un S est la nouvelle écriture officielle, même si Cuzco est encore accepté. Et par chez moi, au Brésil, c'est toujours Cusco. Donc je laisse le S. Merci aux Maîtres Capello en herbe.

Il est donc 4h du mat, au terminal terrestre de Cusco. Comme pour l'ensemble de notre voyage, on a pas d'hotel, on improvise toujours. Bon là improviser à 4h du mat c'est un peu chiant et on a faim. On partage un taxi avec un couple de français qui faisait partie de notre groupe pendant les 2 jours au lac Titicaca. Mention spéciale à la prononciation péruvienne de Thibault : Ti'Boule. La classe internationale.

Le taxi nous dépose sur la place d'armes et on démarre par un petit dej typiquement péruvien : un Mac Do. Il n'y a pas de Mac Morning donc on tourne au big mac. On a à peine commencé à manger qu'ils mettent les mc morning au menu. Je suis dégouté. :)

Après ça on part à la recherche d'un hotel, on trouve un truc pas cher du tout, bien délabré dans la cour d'une école de langues, mais qui fera parfaitement l'affaire, avec wifi et ptit dej sympa. Et l'eau de la douche qui est occasionellement chaude, ce qui est bien mieux que dans d'autres établissements qu'on a eu l'occasion de fréquenter jusqu'à présent.

On se prend un léger repos, on se prend légèrement la tête au sujet de l'ordre de ce qu'on veut faire entre la visite de la ville, les quelques sites alentours, et les 2-3 bleds sur la route de notre destination quasi-finale : la Machu Picchu.

Petit coup de stress vu qu'il pleut. Il pleut même bien. Sa m*re il tombe des cordes : on achète des ponchos.

Une fois d'accord on passe à la caisse. Achat du boleto turistico, nécessaire pour visiter les coins sympas de la vallée sacrée, et les billets de train pour le MP (Machu Picchu). Ces billets de train coûtent un bras. Un gros bras. Un bras de catcheur WWE. Mais bon on ne va pas y aller à cheval.

Suite à ça on se débrouille pour prendre un taxi, qui nous amène vers une rue où on trouve un minibus, qui nous dépose le long de la route des sites touristiques des alentours de Cusco, qu'on parcourt paisiblement en marchant. Il ne pleut plus, c'est cool, on a une super vue sur Cusco.

Une fois monté voir le Christ qui surplombe Cusco (le jumeau du Christ Rédempteur qui surplombe Rio), on descend à pieds jusque l'hotel, avec quelques problèmes d'orientation en ville mais on s'en sort.

Au final lors des vacances on aura bien rentabilisé le boleto, en faisant aujourd'hui :
  • Saqsaywaman
  • Qenqo
  • Pukapukara
  • Tambomachay
Et dans les 2 jours à venir :
  • Pisac
  • Ollantaytambo

On terminera la journée en se mangeant une spécialité locale, apparemment bourré de protéines et excellente pour la santé : du Cuy (prononcer Couille). En français : un bon gros cochon d'inde bien dodu. Coucou Kiki. En fait ça a le goût de poulet, ça se mange bien.

Je dors comme un bébé cette nuit et heureusement parce que demain je vais en ch*er des briques mais je ne le sais pas encore : demain c'est Pisac en epic mode.

Une des 30.000 églises de Cusco. Les espagnols n'ont pas fait semblant en colonisant la ville Inca.

Une touche de modernité.

Photo collector de l'achat des billets de train pour le MP, prise sous les 12 affiches "photo interdites"...

3.800m, j'ai connu bien pire.

Ce blog manque franchement de photos de lama.




J'ai le même à la maison, mais sans les barbelés.

Bon appétit bien sûr

Il fait pas le fier, le Cuy.



Sur la place de Cusco, un geek a mis un mix entre un chevalier d'or et Thor.

Oh un défilé militaire.



Y a des lamas partout c'est fou.

Et si j'allais faire un tour là dedans pour voir ce qu'il y a à visiter



Belle vue sur Cusco

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