mardi 22 avril 2014

Costa Rica - J3 - 2 avril 2014

Aujourd'hui... Puerto Viejo !

Vu que tout le monde semble aller sur Puerto Viejo et que c'est à 30 minutes de bus (15km), on décide d'aller voir ce qui se passe là bas et de bouger.

Sur place on trouve de quoi se loger dans un hotel au nom particulièrement recherché : "hotel Puerto Viejo". Ca ne s'invente pas. Le personnel est super sympa, le coin est un peu roots mais correct. Après avoir enfermé par inadvertance Fif pendant quelques longues minutes dans la chambre pendant que je glandais dans la salle commune, on part se promener. Il y a nettement plus de monde qu'à Cahuita, ce qui veut dire qu'il n'y a pas grand monde. Mais pas grand monde, c'est plus peuplé que "personne". :)

Après avoir vu que la Playe Negra locale était effectivement une autre plage de sable noire, on loue des vélos et on part se promener. On enfile les kilomètres et on se pose à plage Punta Uva. C'est une chouette plage, avec eau chaude, sable fin, quelques touristes mais pas trop, un lieu parfait pour glander.

Après ça on rentre, on boit un coup, on passe une soirée tranquille et on réfléchit déjà au plan sans accrocs du lendemain : le trajet vers Santa Elena. L'Aventure.

Bien sûr avant ça il faut réussir à dormir. Rien de plus facile avec des murs épais comme une feuille de papier et notre voisin américain qui a ramené une tica avec lui pour lui faire sa fête toute la nuit en rigolant comme une chèvre. L'hôtel est pas cher, on en a pour notre argent...

Le bus est notre ami, il faut l'aimer aussi

La chambre

Playa Negra, avec des apprentis surfeurs


P*tain de touriste !


Le vélo c'est trop facile du coup j'en utilise 2, pour en changer quand le premier fatigue

Dans le bus encore... La population du pays a un léger problème de surpoids

Toujours l'hôtel

Un gamin dans l'hôtel qui se promenait avec une machette de 50cm... normal.

Playa Punta Uva

Puerto Viejo




Un singe décontracté du slip, qui laisse fièrement pendre son paquet à la vue de tous

Des singes hurleurs, capables de faire un de ces boucans inimaginable ...






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