lundi 23 août 2010

Europa trip 2010 - Vendredi 6 août

On se réveille assez tôt, on n'a pas été pris d'assaut par Gunther et ses potes pendant la nuit. Youpi !

Par contre il fait un froid de morgue, il pleut toujours, et l'intérieur de la voiture est complètement trempé par la condensation, tout est mouillé. Merci l'Autriche !

On reprend la route pour se rendre compte qu'il y avait une super aire d'autoroute avec resto et tout à 2-3 km de là ...

Au final on repart, on s'était arrêté juste avant la frontière allemande. Il reste 1000km presque tout pile à faire, dont l'immense majorité sur le plus grand circuit automobile qui soit : l'Allemagne.

On aura violemment tapé dedans, pour le baroud d'honneur de l'Espace.

En hommage à ce noble véhicule, c'était très exactement celui-ci : Le véritable Pussy Wagon
Même couleur, motorisation (2.2L turbo diesel) ... Le turbo, ça le fait. :)
Il est donné à 171km/h maxi, on aura fait mieux. 180km/h pour moi, 182km/h pour Rémi un peu plus tard. Je n'aurais pas eu les conditions favorables pour dépasser le record, dommage ...
Disclaimer : c'était bien évidemment sur les portions sans limitation de vitesse, et avec les conditions adéquates de circulation. Et le vent de dos, en descente, sur une route impeccable. :)
D'ailleurs à 180km/h, j'étais sur la file de gauche en transe, quand j'ai aperçu dans le rétro une Audi qui arrivait comme une balle au milieu, j'ai du me rabattre en urgence et me faire mettre minable par une vraie voiture. :)

Après cette intense journée de pilotage, on fait refroidir le moteur sur les routes belges, puis française, et retour à Lille en fin de journée. Une petite séance de nettoyage au rouleau du Pussy (faudra que je pense à faire subir ça à mon italienne un de ces jours), qui au final n'aura pas amélioré grand chose vu le nombre monstrueux d'insectes incrustés dans la carrosserie.

Retour au bercail, douche, repos ... Home, sweet home!

Ou pas, il faut que je reparte. :)
Il n'y a pas qu'Orson Wells qui nous a accompagné moralement pendant le road trip. Une moustache,  et on traverse le Tigre à la nage façon Daniel Craig sortant de l'eau dans Casino Royal
Parce que même les plus gros salauds ont l'air de papy cool grâce à l'accessoire de coolitude ultime : la moustache
Daniel Craig a un musée à son effigie dans la vieille ville de Prague. Enfin presque.
Et hop, un hommage à ce grand morceau de musique qui nous aura harcelé du petit matin jusqu'au plus tard de la nuit, jour après jour à la radio :

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